Diagnostiquer l'insomnie
Il est difficile de diagnostiquer l’insomnie. En général on utilise des questionnaires que le médecin donne au patient qui pense souffrir d’insomnie. On obtient alors  une évaluation détaillée du sommeil, on peut distinguer une forme transitoire d’une forme chronique, et en rechercher la cause.



On retrouve en général les questions suivantes :
- Y a t-il des difficultés à s’endormir ?
- Y a t-il des difficultés à rester endormi ?
- Le réveil est-il précoce ?
- Le sommeil est-il de bonne qualité ou non-réparateur ?
- Ces difficultés viennent-elles malgré de bonnes conditions ?


Un de ces symptômes peut être rapporté par le patient :
- fatigue, méforme *, somnolence
- baisse de l’attention, de la concentration ou de la mémoire
- dysfonctionnement social, professionnel ou mauvaises performances scolaires
- instabilité d’humeur, irritabilité
- somnolence durant la journée
- baisse de la motivation, de l’énergie, de la prise d’initiative
- tendance à des erreurs, à des accidents du travail ou de voiture
- maux de tête, tension mentale et/ou symptômes intestinaux.
- préoccupations et soucis à propos du sommeil
- difficultés à se concentrer lors des activités 
- chez l'adulte, peut provoquer une presence du corps mais pas de l'esprit, notamment au travail
- chez l'enfant, provoque des difficultés scolaires

     Lorsque l’on dort mal plus de trois fois par semaine pendant plus de trois semaines, il faut consulter son médecin pour éviter que l’insomnie ne s’installe. 


Avec des examens plus poussés, on remarque que :
L’insomniaque peut avoir un rythme cardiaque élevé, ses cellules immunitaires* peuvent avoir un disfonctionnement et l’insomniaque peut aussi avoir des problèmes lors de la fabrication des protéines*. Il est aussi sujet à des courts moments de somnolence mais il peut ne pas s’en rendre compte. L’insomniaque peut aussi avoir l’air d’un vrai malade s’il a une mine pale, des cernes, une frilosité qui est accentuée et une lassitude de tout.
 



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